Juillet 2020,

Février, 2019

«Malgré des conditions de vie pas toujours faciles, les Philippins possèdent un enthousiasme et une force de caractère impressionnante»

PHILIPPINES

"Jérémy Tassan prolonge sa série de photos de voyages en se projetant un peu plus loin, du côté des Philippines. Le photographe y éprouve un fossé culturel, propre à ceux que prodiguent les pays d’Asie avec des paysages tropicaux à couper le souffle, la pauvreté endémique accrue par les typhons réguliers et, malgré tout, la joie de vivre présente à chaque coin de rue.

Le photographe capture au gré de ses déplacements la vie quotidienne, sans effets, juste avec quelques vues aériennes qui saisissent la beauté sans fard d’une forêt impénétrable cotoyant le bleu turquoise de la mer puisque le pays, découvert par Magellan en 1521, comporte 7641 îles. 

Plus que partout où il est allé auparavant, le Français s’est dit marqué par l’accueil des habitants : « Malgré des conditions de vie pas toujours faciles, les Philippins possèdent un enthousiasme et une force de caractère impressionnante ».

C’est avec la simplicité d’approche qui le caractérise et qui forge une photo à hauteur d’homme, ne surplombant jamais son sujet que Jérémy offre ce regard doucement émerveillé, plein d’empathie sur un peuple et un pays dont on devine le développement amorcé, mais toujours en phase avec les éléments de la nature."

Texte : Hervé Lucien 
Plus de photos : www.jeremy-tassan.com/philippines
#TheGoodLifeMagazine


Janvier 2019

Photographies par Jérémy Tassan

"Le photographe d’origine provençale s’est toujours inscrit dans les grands espaces, de Montréal où il a vécu en passant par San Francisco, objet d’une expo en 2016, les impressionnantes montagnes italiennes des Dolomites ou les vastes étendues de l’Islande qu’il a sillonné en 2018. Cette dernière géographie s’est imposée comme sujet unique dans cet ensemble de photographies réalisées en l’espace de quelques jours sur la principale route d’Islande (1339 km) effectuant le tour du littoral du pays.

On retrouve dans ces clichés toute la majesté et l’incongruité de cette île de l’Atlantique Nord proche du cercle polaire arctique, entre paysages glacés et panoramas sauvages, aurores boréales et sites appréciés des connaisseurs comme la lagune glaciaire de Jökulsárlón ou le site de crash du DC3 de l’armée US en 1973. 

Sous un climat islandais très variable, que l’on peut ressentir au fil des photos et qui a tiré des habitants du pays cet étonnant dicton « si le temps ne te plaît pas, attend juste cinq minutes », le voyage est empreint d’une rare solitude, magnifiée par les prises de vues au drone spectaculaires. À hauteur d’homme ou en tentant de prendre la mesure de l’espace gigantesque de ce pays lointain, Jérémy Tassan se fait l’humble observateur d’un pays formidablement bigger than life."   


Décembre, 2018

ISLANDE

"Le photographe d’origine provençale s’est toujours inscrit dans les grands espaces, de Montréal où il a vécu en passant par San Francisco, objet d’une expo en 2016, les impressionnantes montagnes italiennes des Dolomites ou les vastes étendues de l’Islande qu’il a sillonné en 2018. Cette dernière géographie s’est imposée comme sujet unique dans cet ensemble de photographies réalisées en l’espace de quelques jours sur la principale route d’Islande (1339 km) effectuant le tour du littoral du pays.

On retrouve dans ces clichés toute la majesté et l’incongruité de cette île de l’Atlantique Nord proche du cercle polaire arctique, entre paysages glacés et panoramas sauvages, aurores boréales et sites appréciés des connaisseurs comme la lagune glaciaire de Jökulsárlón ou le site de crash du DC3 de l’armée US en 1973. 

Sous un climat islandais très variable, que l’on peut ressentir au fil des photos et qui a tiré des habitants du pays cet étonnant dicton « si le temps ne te plaît pas, attend juste cinq minutes », le voyage est empreint d’une rare solitude, magnifiée par les prises de vues au drone spectaculaires. À hauteur d’homme ou en tentant de prendre la mesure de l’espace gigantesque de ce pays lointain, Jérémy Tassan se fait l’humble observateur d’un pays formidablement bigger than life."

Texte : Hervé Lucien 
Plus de photos : https://www.jeremy-tassan.com/islande

Septembre, 2018

"Le bleu de la mer Méditerranée qui ne ressemble à aucun autre,

même quand on a eu la chance de bourlinguer dans le monde entier."

Ce soleil bienveillant qui rends belle une journée. La lumière exceptionnelle qui vous irradie tout de suite en vous rentrant dans le cerveau! Le bonheur de marcher pieds nus, les odeurs de thym, de romarin, de lavande, de basilic, d'origan ou de sarriette..

Un loup grillé avec ces herbes et juste un petit filet d'huile d'olive. Les vignes, bien sûr, à parte de vue, si vertes, si graphiques, et le vin rosé bien frais, bien sec, qu'on apprécie après s'être baigné dans une calanque. Le gout de sel qu'on a sur les lèvres et la bonne mine qu'on attrape vite. Un petit morceau de parmesan. Les marchés si bruyants, si odorants si évidents, à 10 000 lieux des odeurs, des bruits et des ennuis de Paris!

Un platane, un tilleul, se mettre à l'ombre, lire un bouquin, une bonne sieste, volets fermés, avec les cigales en fond sonore, qu'on finit par ne plus entendre tellement on part doucement, doucement, doucement vers le paradis blanc... les poissons de toutes les couleurs comme ce belles girelles royales. Les bateaux partout, gros, petits qui forment un ballet incessant toute la journée, le mistral qui fait taper les drisses sur les mâts des voiliers. Les gens qui parlent fort (à cause du vent), le bruit des boules de pétanque qui claquent sur un carreau, la montagne dans la mer, les petits villages de pierres blanches au sommet de pitons rocheux improbables, les citrons gros comme des melons, et puis des fleurs partout!

Le sourire des gens, Oliviers, figuiers, mimosas, eucalyptus, châtaignier qui vous enivrent à n'en plus finir. Discuter des heures après diner, avec le bruit du ressac de la mer en contre-bas, le goût d'une olive du pays, la tête d'un âne à qui on ne la fait pas, oublier l'acte, l'économie, les problèmes qui s'entassent. S'oublier, lâcher prise, se détendre au sens propre. Prendre du plaisir à être bienveillant, regarder la mer et les étoiles pendant des heures, et se dire "quelle chance de jouir de ce spectacle!"

#TheGoodLifeMagazine

Mediterraneo Ti amo.


#SANFRANCISCO

Terre de cocagne des poètes de la Beat Generation, Aujourd’hui berceau des nouvelles technologies, rien ne contient vraiment San Francisco. Menacée par le Big One, le séisme que tout le monde attend et qui pourrait la raser comme il l’a littéralement fait en 1906, elle entretient son art de vivre, ici et maintenant, grâce à un urbanisme raisonné où alternent la mer, les collines et les espaces verts. Avec son œil de primo-visiteur Jérémy, se fait écho de cette humeur qui rappelle l’Europe mais annonce aussi l’Asie. Entre vieilles maisons d’inspiration hispaniques et cable cars, palmiers et autos vintage, les strates de temps se superposent, ce qui constitue clairement sa photogénie : San Francisco est toujours vivante et toujours exploitée, d’Hitchcock (Vertigo 1958) à l’adaptation en série du livre de Philip K. Dick Le Maître du Haut-Château par Amazon, où “Frisco”, hors du temps et japonisée, est une véritable héroïne. Comme si dans cette ville-monde pouvait se concentrer d’innombrables réalités et fantasmes.

The greasy land of poets is now the cradle of technology. Lasting memories of earthquakes past has everyone on edge, but Frisco stays calm and ready, an alternating sea of urbanism; hilly and green, storied and sprawling, adaptive and happening.
Visitor Jérémy goes wild his the camera. Everything is photogenic, from the Spanish-inspired homes, the vintage cable cars, the reaching palm trees, all of it brilliantly alive. He remembers Hitchcock’s Vertigo (1958) and thinks of The Man In The High Castle (Amazon), Frisco playing a lead role in both. He takes his pictures and truly sees the concentrated dreamscape that built itself up on a fault line.

article: nightlife.ca

INFORMATIONS/ CONTACT :
23 AVRIL AU 21 MAI 2016
VISITE LIBRE, SAMEDI DE 13H À 15hH30, DIMANCHE DE 13H À 17H
1259 rue amherst • H2L 3K9, MONTRÉAL, CANADA.
PRESS KIT (gif, jpeg) sur demande :
EXHIBITIONS@TASSAN.CA

Mai, 2012

ZORG & TASSAN

Les errances de Tassan & les angoisses mathématiques de Zorg.

VERNISSAGE VENDREDI 22 JUIN 2012 A PARTIR DE 20H AU 83 VERNET, AVIGNON.

L’oeil vissé à l’objectif, Jeremy Tassan s’est « perdu » volontairement dans la nuit, au fil des rencontres et des situations. Créateur/superviseur des fameuses French Party développées au Privé, chevalier de la club culture à la française avec ses soirées de marques (Breakbot, Teenage bad girl, feadz, les Petits Pilous…) c’est son travail de photographe au sein du club qui l’a amené dans la scène photographique. Venez errer avec lui à travers une collection de photographie unique et anecdotique, sexy et décomplexée.

Les illustrations de zorg projettent une logique mathématique vrillée, décomposée. Son travail pictural fait autant référence au affichistes des années 1900 qu’au street artistes contemporains. Responsable de la ligne graphique du privé depuis début 2010, l’artiste développe une ligne très contemporaine, pêchue, décalée, calée sur les tendances actuelles et le revival d’un style graphique perdu. Actuellement directeur artistique à Marseille, il produit là une série d’affiches grands formats qui ne vous laisseront pas de marbre.

Entrée gratuite à partir de 20h
83 Rue Joseph Vernet, 84000 Avignon, France

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